Lettres sur la peste : entre privilèges et indécence
Un ouvrage inconséquent et nihiliste sur la pandémie que nous livre ici Olivier Cheval, où la pandémie de Covid-19 est seulement appréhendée par le prisme de sa plume bourgeoise et solipsiste.
Science sociales et communisme.
Un ouvrage inconséquent et nihiliste sur la pandémie que nous livre ici Olivier Cheval, où la pandémie de Covid-19 est seulement appréhendée par le prisme de sa plume bourgeoise et solipsiste.
nous trouvons engagés par les communs négatifs que nous lèguent le monde organisé dans et par le capitalisme. Que faire de ces infrastructures, projets et imaginaires ? Héritage et fermeture sont les deux gestes d’une écologie proprement responsable : en finir avec ce monde-là.
Vitrines de la nature sauvage, les parcs naturels américains sont d’abord des espaces d’où les populations locales ont été chassées et contrôlées. Karl Jacoby retrace l’histoire de ces violences et de leurs résistances.
À la lecture de La chair du politique , dernier numéro de la revue Sensibilités des éditions Anamosa, on sort avec l’idée qu’effectivement, à y regarder de près, c’est d’affectivités qu’il en va en politique. « La chair du politique » parce que le sentiment fait et défait l’engagement, l’engagement fait et défait le sentiment.
accélérationniste et connectiviste. Une invitation, une ouverture à la relecture de l’œuvre du philosophe du philosophe du désir que nous propose Andrew Culp, dévoilant ainsi les atours d’un Deleuze sombre dont le compagnonnage nous permettrait d’analyser et détruire les forces d’un monde intolérable.